mercredi, mai 25, 2005

A la surface du Web

Cette fois, je reviens au web avec deux infos que vous connaissez déjà sûrement vu qu’elles trainent sur les blogs et sont reprises à droite à gauche.

Totem Consult, Kesako, Miss TICS ont déjà parlé de cet article du Journal du Net sur les Darks Sites, ou « sites cachés » mis en ligne pour répondre rapidement et efficacement à une crise et essayer de la désamorcer. Ils sont disponibles pour répondre aux questions des médias, des entreprises partenaires mais aussi du grand public sur Internet. le fait de créer un site distinct du site de l'entreprise "permet de séparer les genres, de ne pas générer du trafic sur un site institutionnel autour de la crise, et ainsi de parler de choses graves dans un environnement - graphique, notamment - adapté" selon Jean-Christophe Alquier. "Selon les spécialistes de la communication de crise, les dark sites sont des outils particulièrement adaptés aux retraits de lots de marchandises et aux rappels de produits, qui nécessitent d'informer de manière concrète sur les produits en cause et/ou les actions entamées pour venir à bout d'un problème.

Du Dark web au web visible, Totem toujours nous informe que selon une étude, le Web superficiel, accessible par les moteurs de recherche, réprésentait 11,5 milliards de pages à la fin du mois de janvier 2005. Le web superficiel ou visible, c'est la partie du Web indexable et indexée par les moteurs de recherche. Pour info, Google annonce une base de données de plus de 8 milliards de pages, MSN en annonce 5 milliards, Yahoo! au moins 4 milliards et AskJeeves/Teoma un peu plus de 2 milliards.

Autre info à côté de laquelle on ne peut décemment pas passer, le décodeur des moteurs de recherhe qui permet de s’y retrouver d’une manière simple dans la jungle des achats, rachats et la concentration des sources aux mains de quelques grands groupes. Aujourd'hui, l'accès à l'information est contrôlé par des moteurs et des annuaires, certes internationaux, mais en réalité tous américains. Pour savoir qui vend et achète des données à qui, il suffit de cliquer sur le logo d'un outil de recherche et de prendre connaissance de la légende en bas de page.

Totem nous signale par ailleurs divers outils bien utiles :
DigBig permet de remplacer les trop longues adresses URL par une adresse plus courtes, ce qui peut s’avérer utile dans un rapport ou une présentation si l'URL se présente sur plusieurs lignes.

NameDroppers permet de trouver des noms de domaine contenant une chaîne de caractères donnée. Intéressant pour trouver des concurrents ou des idées de noms de domaine.